Quand ma route est obscure,
Qu’à peine une lueur
M’éclaire et me rassure,
Je regarde au Sauveur !
Quand mon âme, entraînée
Vers un plaisir trompeur,
Au mal est enchaînée,
Je regarde au Sauveur !
Quand ma coupe est remplie,
Comblée par la faveur
Du Dieu que l’homme oublie,
Je regarde au Sauveur !
Dans le calme ou l’orage,
La joie ou la douleur,
À toute heure à tout âge,
Regardons au Sauveur !