{title:Quelqu’un frappe à votre porte} {comment:Sur les ailes de la foi (223)} {comment:Célébrons Dieu (190)} {comment:Edouard Monod} {comment:Edwin Othello Excell} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Quelqu’un frappe à votre porte : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! C’est le ciel qu’il vous apporte : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! Chez vous il veut prendre place; Ouvrez avant qu’il se lasse ! Le temps presse, le temps passe; Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Ouvrez ! C’est lui qui pardonne : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! Acceptez tout ce qu’il donne : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! Sa main va briser vos chaînes; Ses promesses sont certaines, Bientôt finiront nos peines : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Seul il ôte les souillures : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! Seul il guérit les blessures : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! Quand la mort va vous surprendre Seul il pourra vous défendre, Et sous son aile vous prendre : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Écoutez l’appel si tendre ! Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! C’est assez le faire attendre : Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! Le Roi des rois vous implore : Qui peut résister encore ? Oh ! que votre âme l’adore ! Ouvrez-lui ! Ouvrez aujourd’hui ! {end_of_verse}