{title:Oh ! qu'il est doux d'aimer Dieu} {comment:Sur les ailes de la foi (399)} {comment:F. Guillaumet} {comment:César Malan} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Oh ! qu'il est doux d'aimer Dieu comme un Père, D'aller à lui sans détour, sans frayeur ; De parcourir sa terrestre carrière Toujours conduit par l'Esprit du Seigneur ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Oh ! qu'il est doux de trouver à toute heure Un tendre Ami, prêt à nous soulager ! D'être en tout lieu, Jésus, dans ta demeure, Et sur ton sein au plus fort du danger ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Oh ! qu'il est doux de penser à ta grâce, Dans ma faiblesse et toutes mes langueurs, Et de me dire : « Il s'est mis à ma place, Comme un agneau, pour porter mes douleurs ! » {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Oh ! qu'il est doux de contempler ta gloire, Seigneur Jésus ! et tous les tiens en Toi ; D'attendre en paix le jour de ta victoire, Et de ta main le prix de notre foi ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Oh ! quel moment, Jésus, devant ton trône. Quand tous les saints, alors glorifiés, Portant chacun l'immortelle couronne, En t'adorant, la mettront à tes pieds ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Dans nos concerts, joints aux concerts des anges, Nous chanterons le cantique nouveau : Nos harpes d'or, nos voix et nos louanges Rendront la gloire et l'honneur à l'Agneau ! {end_of_verse}